Après-guerre, on considérait la langue bretonne, autant que la musique et les danses locales, comme des choses appartenant désormais au passé. Dans les années 50 toutefois, quelques-uns ont commencé à essayer de faire bouger les choses. Yann Le Meur était l’un d’entre eux. C’est à la fin des années 70…
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